Joggeuse de Bouloc et Amandine Estrabaud : y-a-t-il un lien ?
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09/09/2013

Joggeuse de Bouloc et Amandine Estrabaud : y-a-t-il un lien ?


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Que ce soit sur les forums ou les réseaux sociaux, personne ne peut s'empêcher de faire le lien entre le meurtre de la joggeuse de Bouloc et la disparition d'Amandine Estrabaud.

«Le lien éventuel avec l'affaire de la joggeuse de Bouloc s'est évidemment posé, mais à ce stade de nos investigations, s'il existe des similitudes, aucun élément ne permet de rapprocher les deux dossiers» a indiqué un gendarme sur Le Figaro.

Le 14 février 2011, vers 4H30 du matin, Patricia Bouchon, 49 ans, quitte son domicile de Bouloc pour 35 minutes de jogging.

Son cadavre sera retrouvé 6 semaines plus tard. Elle est morte suite à des coups violents portés à la tête qui lui ont brisé le crâne et les vertèbres cervicales.

Le 18 juin dernier, Amandine Estrabaud, assistante d'éducation au collège Anne-Veaute de Castres âgée de 30 ans, est rentrée chez elle à Roquecourbe en stop.

Une voisine l'a vue pour la dernière fois devant son domicile, vers 16h30. Depuis on n'a plus aucun signe de vie.

La proximité

Bouloc, en Haute-Garonne, est à 90 km de Roquecourbe, dans le Tarn, et à une heure et vingt minutes en voiture en moyenne.

Une boucle d'oreille

A chaque fois, dans les deux dossiers, une boucle d'oreille est retrouvé sur les lieux de la disparition.

Pour la joggeuse de Bouloc, le lendemain de sa disparition, quatre taches de sang, une boucle d'oreille et un chouchou à cheveux ont été retrouvés sur un chemin rocailleux, non loin de son pavillon.

Pour Amandine, la porte d'entrée de son logement sera retrouvée grande ouverte le lendemain. Une boucle d'oreille et des chaussures lui appartenant ont également été retrouvées devant son domicile.

Une fourgonnette blanche

Pour Amandine Estrabaud, le jour de sa disparition, aux environs de 16H30, devant sa maison, il y avait une fourgonnette blanche en stationnement alors qu'Amandine venait de rentrer chez elle en stop.

«En fin d'après-midi, la fourgonnette blanche n'était plus là. Et la porte de son domicile était ouverte. Cela m'a intrigué» a indiqué une voisine.

Pour Patricia Bouchon, dans un article du Parisien du 20 février 2011, on parle d'un utilitaire de type Citroën 15 de couleur blanche ou crème qui aurait pu se trouver à proximité des lieux.

En tous cas, ces deux affaires restent très mystérieuses.



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