Caroline Corvalan : plusieurs interrogations demeurent

Le tueur de Caroline Corvalan n'a toujours pas été identifié et, dans cette affaire, plusieurs interrogations demeurent.

Une plainte le jour précédent sa disparition

Plusieurs plaintes pour menaces de morts réitérées avaient été déposées ces derniers mois par un des amis parisiens de la victime. Son identité est tenue secrète.

La dernière plainte date du 18 août, le jour précédent sa disparition.

Le mystérieux appareil-photo

Concernant ce mystérieux appareil-photo argentique retrouvé chez la jeune journaliste après son cambriolage, les sources divergent.

Certains journaux parlent d'un appareil n'appartenant pas à la victime et donc qui aurait été déposé par le ou les cambrioleurs.

D'autres parlent d'un appareil appartenant à la victime qui avait disparu et qui est réapparu au moment du cambriolage.

En tout cas, il y a une raison précise pour laquelle l'intrus l'a laissé, car un cambrioleur n'entre pas dans un logement avec un appareil photo argentique.

Pourquoi le meurtrier n'a-t-il pas découpé les mains ?

Le tronc de Caroline était enveloppé dans une bâche en plastique. La mort aurait eu lieu entre le 19 et le 25 août.

Son corps avait été sectionné de manière nette, "un travail de professionnel", dit-on de source judiciaire, notamment au niveau de la cuisse et du genou. Un découpage qui laisse penser à une opération post mortem.

Mais les bras et les mains de la jeune femme n'ont pas été sectionnés ce qui a permis son identification rapide grâce à sa demande de passeport biométriques faite récemment.

Pourquoi le meurtrier a-t-il pris le soin de découper avec minutie toutes ses parties de son corps mais pas les bras et les mains ?

A-t-il voulu qu'on l'identifie tout de même ?